Plasticien du vent
Adepte des grands formats, leurs lectures étaient obligatoirement en extérieur. Le vent me contraignait souvent. Plutôt que de subir, j’ai décidé de l’exploiter et faire voler ma peinture fut la solution. Jouant sur la distance « Le ciel pour cimaise » devint ma quête. Je m’y amuse depuis 47 ans.